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Économie et développement                       Ces pièces rouges... c'est de l'argent !


Point de vue : "Ces pièces rouges … c’est de l’argent ! " -Article aliment-et-developpement.com - août 2016

Pour diverses raisons, les gens règlent leurs achats de nourriture en liquide, billets et pièces jaunes. Ils reçoivent en monnaie des pièces rouges. On a toujours du mal à utiliser cet argent une fois à la caisse.  On est gêné pour la caissière qui doit aller vite, pour le client suivant qui attend ou par le regard des autres. Alors, on les accumule de toutes façons. Mais, ces pièces rouges, c’est de l’argent !  Et l'argent est pour être dépensé.  L’utilisation de cet argent dans le commerce d'alimentation,  le principal pourvoyeur en ces pièces, peut être facilitée aux clients. Tous les supermarchés offrent gratuitement des cartes de fidélité. Celles-ci sont  créditées par les achats. Un système similaire ne pourrait-il pas  aussi créditer les mêmes cartes par les pièces rouges? Le dispositif installé dans un coin du hall du magasin, tout comme pour le distributeur de billets, ne gênerait personne et pour des pièces rouges personne ne se sentirait gênée.  Valoriser les pièces rouges en créditant les comptes par un dispositif automatique n'est pas une idée nouvelle : des institutions financières le font. Pour ce qui est d'un dispositif créditeur de carte de fidélité d'un supermarché, les modèles ne manquent pas. On en trouve au sein même des supermarchés : en effet, toute caisse de paiement, manuelle ou automatique, en est un ou peut servir à cet effet.                            

Il est vrai que les pièces rouges ne peuvent changer significativement le pouvoir d'achat d'un individu, et d'ailleurs, "le pouvoir d'achat aux cents" n'est souhaitable nulle part et à personne. Ce qui importe en considérant ces pièces rouges, c'est la dynamique qui peut être créée autour des meilleures conditions d'utilisation de cet argent. La conception, la fabrication, la commercialisation, la maintenance, la gestion du dispositif receveur en est une.                    

La dynamique, autour du dispositif receveur des pièces, porte aussi sur tout ce qui découlera de son utilité sociale et économique en termes de développement participatif (l'arme pour trancher le nœud gordien du développement durable ? on peut le penser !) par exemple. Bien entendu, le développement participatif n'est pas que "la participation au développement", mais aussi et surtout l'engagement total  de toute la personnalité du participant.  

"La participation au développement", c'est ce que fait chaque travailleur au niveau familial, local, national ou international.               Quant à l'engagement total de la personnalité, celui-ci est étroitement lié  à la question de la liberté, celle de la liberté individuelle en particulier. Connaître cette liberté individuelle, et la connaissant, reconnaître celle de toute personne  et encourager sa capacité à entreprendre, fait du développement participatif choix pour la prospérité de tous.                                          

Le développement participatif fondé sur la liberté individuelle, c'est ce que font des groupes économiques et financiers. Il arrive que ceux-ci réservent une part de leur budget pour soutenir ou créer des projets, éloignés ou pas de leur domaine d'activité, avec pour but le développement participatif.                                                               

Ces projets et leur réalisation ne constituent pas un sous domaine ou un second domaine d'activité du groupe. Ils n'ont pas non plus pour finalité la prospection de marché du groupe. Pour autant, on ne peut pas dire que ces projets soient désintéressés, dans la mesure où ils sont fondés sur la reconnaissance de la liberté individuelle.  

De la participation au développement et du développement participatif, cette communication inspire : [GDF SUEZ ,  « Parce que le monde change et avec lui toutes nos énergies, GDF SUEZ devient ENGIE. ENGIE investit dans la créativité de chacun et la collaboration de tous, pour mener à bien la transition énergétique. By people for people* L’énergie est notre avenir, économisons la !  » ]. A travers cette communication, l'événement entrevu par des philosophes et économistes du XIXème siècle semble présent: "La liberté individuelle se réalise dans l’Histoire, affirma Hegel, elle ne prend sens que dans la société civile, dans la famille et dans l’État. L’émancipation politique, économique et sociale implique, selon Marx, que les individus se libèrent de l’esclavage du besoin, de la guerre entre les nations et de la lutte des classes".  

                                                               

L'histoire, la culture et l'art rappellent que le développement participatif, c'est aussi l'engagement de la liberté individuelle pour reconnaissance de libertés individuelles. Il s'impose face au mépris des droits de l'homme, au mépris de la loi, au mépris de toutes les règles habituelles de bonne gouvernance, face à la tyrannie et dans la lutte contre la détérioration de l'environnement. Les libertés publiques et les droits dont jouissent les citoyens dans les démocraties contemporaines sont en grande partie le fruit d'engagement, dans le passé comme aujourd'hui,  de la liberté individuelle d'hommes et de femmes pour une liberté collective, cela se sait, mais ce n'est jamais assez de nous le rappeler. L'histoire du développement humain est pratiquement faite de cet engagement. L'exemple le plus récent, c'est la question des migrations depuis l'été dernier. Elle est entrée dans l'histoire de l'humanité, l'actualité politique en Europe et particulièrement en Allemagne (depuis ce week end de début septembre) avertit.

De nombreuses œuvres d'art (films, tableaux...)témoignent et sensibilisent sur l'engagement de la liberté individuelle, mais aussi sur son utilisation pour violence. Concernant la liberté individuelle, le film de Steven Spielberg, "La Liste de Schindler"sorti en 1993 qui, est avant tout sujet un drame historique, dit long de l'engagement et de l'utilisation de la liberté individuelle.  "Polumgla" , film de Artiom Antonov  sorti en 2005, est un autre exemple qui, par son dénouement, laisse dubitatif quant à l'utilisation de la liberté individuelle en période difficile.              On peut lire, au travers de nombreux tableaux de maîtres, l'utilisation de la liberté individuelle. L'oeuvre d’Eugène Delacroix, "La Liberté guidant le peuple ", est incontestablement le plus célèbre de ces tableaux. Mais il y en a tant d'autres, par exemple : "La Justice et la Vengeance Divine poursuivant le Crime" de Pierre-Paul Prud'hon, contemporain et ami de Delacroix. Ce tableau peut aussi être vu comme une allégorie, l'allégorie de l'utilisation de la liberté individuelle**                     

Quant à l'engagement de la liberté individuelle, pour ce qui est du développement universel,  l'on ne peut suffisamment le lire à travers un tableau. Cependant, devant des œuvres évoquant la crucifixion du Christ (Le Christ en croix de Zurbarán par exemple) on peut être amené à chercher, à savoir, davantage sur cet engagement suprême. Pour autant, l'on peut dire que la sensibilité à l'art a une réelle portée pratique, c’est-à-dire un pouvoir sur l'utilisation ou l'engagement de notre liberté individuelle. L'éducation, le raffinement de la personnalité impliquent cette sensibilité, ils en sont la conséquence. 

Qu'en est-il de l'art lorsqu'il s'agit  de l'utilisation ou de l'engagement de la liberté collective***? L’art est-il réellement impuissant face à la violence collective lorsque s'interroge Steiner, «Quel poème immortel ait jamais enrayé ou tempéré le règne de la terreur ?» 

 

Notes

Par nous pour tous                                                                                                                   

**Chacun peut donner à une œuvre d’art le sens (allégorie, symbole, réalité ou anecdote) qu’il perçoit : L’art ne témoigne-t-il pas aussi de cette liberté individuelle?                                                                                               

 ***"La liberté collective",  nous entendons par là la liberté pour tous réalisée dans l’organisation collective, en l’occurrence, l’État de droit.                        

L’État de droit est défini habituellement comme suit : "concept désignant tout État qui s’applique à garantir le respect des libertés publiques, c’est-à-dire le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales, par la mise en place d’une protection juridique. Dans un État de droit, les autorités politiques elles-mêmes sont soumises au respect du droit."


Quelques références bibliographiques 

Art et liberté, article  www.lettres-et-arts.net  

Extrait de publicité, www.20minutes.fr PDF du  04/05/2015, page 9          

La liberté guidant le peuple, Encyclopédie Wikipédia                                    

Libertés publiques, article, Encyclopédie Microsoft® Encarta® 2003            

Liberté, article, Encyclopédie Microsoft® Encarta® 2003    


Économie et développement

Point de vue : "Ces pièces rouges … c’est de l’argent ! " -Article aliment-et-developpement.com - août 2016

Pour diverses raisons, les gens règlent leurs achats de nourriture en liquide, billets et pièces jaunes. Ils reçoivent en monnaie des pièces rouges. On a toujours du mal à utiliser cet argent une fois à la caisse.  On est gêné pour la caissière qui doit aller vite, pour le client suivant qui attend ou par le regard des autres. Alors, on les accumule de toutes façons. Mais, ces pièces rouges, c’est de l’argent !  Et l'argent est pour être dépensé.  L’utilisation de cet argent dans le commerce d'alimentation,  le principal pourvoyeur en ces pièces, peut être facilitée aux clients. Tous les supermarchés offrent gratuitement des cartes de fidélité. Celles-ci sont  créditées par les achats. Un système similaire ne pourrait-il pas  aussi créditer les mêmes cartes par les pièces rouges?           Le dispositif installé dans un coin du hall du magasin, tout comme pour le distributeur de billets, ne gênerait personne et pour des pièces rouges personne ne se sentirait gênée.                                                Valoriser les pièces rouges en créditant les comptes par un dispositif automatique n'est pas une idée nouvelle : des institutions financières le font. Pour ce qui est d'un dispositif créditeur de carte de fidélité d'un supermarché, les modèles ne manquent pas. On en trouve au sein même des supermarchés : en effet, toute caisse de paiement, manuelle ou automatique, en est un ou peut servir à cet effet.                            Il est vrai que les pièces rouges ne peuvent changer significativement le pouvoir d'achat d'un individu, et d'ailleurs, "le pouvoir d'achat aux cents" n'est souhaitable nulle part et à personne. Ce qui importe en considérant ces pièces rouges, c'est la dynamique qui peut être créée autour des meilleures conditions d'utilisation de cet argent. La conception, la fabrication, la commercialisation, la maintenance, la gestion du dispositif receveur en est une.                    La dynamique, autour du dispositif receveur des pièces, porte aussi sur tout ce qui découlera de son utilité sociale et économique en termes de développement participatif (l'arme pour trancher le nœud gordien du développement durable ? on peut le penser !) par exemple. Bien entendu, le développement participatif n'est pas que "la participation au développement", mais aussi et surtout l'engagement total  de toute la personnalité du participant.  "La participation au développement", c'est ce que fait chaque travailleur au niveau familial, local, national ou international.                                          Quant à l'engagement total de la personnalité, celui-ci est étroitement lié  à la question de la liberté, celle de la liberté individuelle en particulier. Connaître cette liberté individuelle, et la connaissant, reconnaître celle de toute personne  et encourager sa capacité à entreprendre, fait du développement participatif choix pour la prospérité de tous.                                          Le développement participatif fondé sur la liberté individuelle, c'est ce que font des groupes économiques et financiers. Il arrive que ceux-ci réservent une part de leur budget pour soutenir ou créer des projets, éloignés ou pas de leur domaine d'activité, avec pour but le développement participatif.                                                               Ces projets et leur réalisation ne constituent pas un sous domaine ou un second domaine d'activité du groupe. Ils n'ont pas non plus pour finalité la prospection de marché du groupe. Pour autant, on ne peut pas dire que ces projets soient désintéressés, dans la mesure où ils sont fondés sur la reconnaissance de la liberté individuelle.    

 

De la participation au développement et du développement participatif, cette communication inspire : [GDF SUEZ ,  « Parce que le monde change et avec lui toutes nos énergies, GDF SUEZ devient ENGIE. ENGIE investit dans la créativité de chacun et la collaboration de tous, pour mener à bien la transition énergétique. By people for people* L’énergie est notre avenir, économisons la !  » ]. A travers cette communication, l'événement entrevu par des philosophes et économistes du XIXème siècle semble présent: "La liberté individuelle se réalise dans l’Histoire, affirma Hegel, elle ne prend sens que dans la société civile, dans la famille et dans l’État. L’émancipation politique, économique et sociale implique, selon Marx, que les individus se libèrent de l’esclavage du besoin, de la guerre entre les nations et de la lutte des classes".                                                                 L'histoire, la culture et l'art rappellent que le développement participatif, c'est aussi l'engagement de la liberté individuelle pour reconnaissance de libertés individuelles. Il s'impose face au mépris des droits de l'homme, au mépris de la loi, au mépris de toutes les règles habituelles de bonne gouvernance, face à la tyrannie et dans la lutte contre la détérioration de l'environnement. Les libertés publiques et les droits dont jouissent les citoyens dans les démocraties contemporaines sont en grande partie le fruit d'engagement, dans le passé comme aujourd'hui,  de la liberté individuelle d'hommes et de femmes pour une liberté collective, cela se sait, mais ce n'est jamais assez de nous le rappeler. L'histoire du développement humain est pratiquement faite de cet engagement. L'exemple le plus récent, c'est la question des migrations depuis l'été dernier. Elle est entrée dans l'histoire de l'humanité, l'actualité politique en Europe et particulièrement en Allemagne (depuis ce week end de début septembre) avertit.                                                    De nombreuses œuvres d'art (films, tableaux...), témoignent et sensibilisent sur l'engagement de la liberté individuelle, mais aussi sur son utilisation pour violence. Concernant la liberté individuelle, le film de Steven Spielberg, "La Liste de Schindler", sorti en 1993 qui, est avant tout sujet un drame historique, dit long de l'engagement et de l'utilisation de la liberté individuelle.  "Polumgla" , film de Artiom Antonov  sorti en 2005, est un autre exemple qui, par son dénouement, laisse dubitatif quant à l'utilisation de la liberté individuelle en période difficile.              On peut lire, au travers de nombreux tableaux de maîtres, l'utilisation de la liberté individuelle. L'oeuvre d’Eugène Delacroix, "La Liberté guidant le peuple ", est incontestablement le plus célèbre de ces tableaux. Mais il y en a tant d'autres, par exemple : "La Justice et la Vengeance Divine poursuivant le Crime" de Pierre-Paul Prud'hon, contemporain et ami de Delacroix. Ce tableau peut aussi être vu comme une allégorie, l'allégorie de l'utilisation de la liberté individuelle**                     Quant à l'engagement de la liberté individuelle, pour ce qui est du développement universel,  l'on ne peut suffisamment le lire à travers un tableau. Cependant, devant des œuvres évoquant la crucifixion du Christ (Le Christ en croix de Zurbarán par exemple) on peut être amené à chercher, à savoir, davantage sur cet engagement suprême. Pour autant, l'on peut dire que la sensibilité à l'art a une réelle portée pratique, c’est-à-dire un pouvoir sur l'utilisation ou l'engagement de notre liberté individuelle. L'éducation, le raffinement de la personnalité impliquent cette sensibilité, ils en sont la conséquence.                                                                     Qu'en est-il de l'art lorsqu'il s'agit  de l'utilisation ou de l'engagement de la liberté collective***? L’art est-il réellement impuissant face à la violence collective lorsque s'interroge Steiner, «Quel poème immortel ait jamais enrayé ou tempéré le règne de la terreur ?» 

 

Par nous pour tous                                                                                                                   **Chacun peut donner à une œuvre d’art le sens (allégorie, symbole, réalité ou anecdote) qu’il perçoit : L’art ne témoigne-t-il pas aussi de cette liberté individuelle?                                                                                                ***"La liberté collective",  nous entendons par là la liberté pour tous réalisée dans l’organisation collective, en l’occurrence, l’État de droit.                        L’État de droit est défini habituellement comme suit : "concept désignant tout État qui s’applique à garantir le respect des libertés publiques, c’est-à-dire le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales, par la mise en place d’une protection juridique. Dans un État de droit, les autorités politiques elles-mêmes sont soumises au respect du droit."


Quelques références bibliographiques 

Art et liberté, article  www.lettres-et-arts.net  

Extrait de publicité, www.20minutes.fr PDF du  04/05/2015, page 9          

La liberté guidant le peuple, Encyclopédie Wikipédia                                    

Libertés publiques, article, Encyclopédie Microsoft® Encarta® 2003            

Liberté, article, Encyclopédie Microsoft® Encarta® 2003                                                                            



                                                Règles sur les paiements en espèces                                                  et avec des pièces de monnaie 

Du paiement en espèces

L’article R. 642-3 du Code pénal stipule : « Le fait de refuser de recevoir des pièces de monnaie ou des billets de banque ayant cours légal en France selon la valeur pour laquelle ils ont cours est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la 2e classe ».  Cependant,  le paiement en espèces (pièces et billets) est réglementé :

  •        Selon le montant
    •  Transaction avec un professionnel (commerçant, entrepreneur, etc.) : jusqu'à 1 000 € 
    •  Paiement d’un  salaire :  jusqu’à 1 500 € par mois
    • Transaction immobilière (achat d'un terrain ouachat d'un logement) : jusqu’à 10 000 €.
  •      Selon la situation
    •  Domicile fiscal à l’étranger : jusqu'à 15 000 € pour toute transaction avec un professionnel
    •  Le paiement en espèces entre particuliers (achat d'une voiture ou d'un tableau par exemple) n'est pas limité. Au-delà de 1500 € un écrit doit prouver le versement
    • Transaction entre professionnels : « Il est interdit aux professionnels de régler en espèces une transaction concernant des métaux ferreux (fer, acier, fonte, etc.) ou non ferreux (aluminium, argent, bronze, cuivre, étain, or, plomb, zinc, etc.), quel que soit le montant » 

Du paiement avec des pièces de monnaie 

L’article R. 642-3 du Code pénal stipule : « Le fait de refuser de recevoir des pièces de monnaie ou des billets de banque ayant cours légal en France selon la valeur pour laquelle ils ont cours est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la 2e classe ».  Cependant,  le paiement en pièces de monnaie est restreint par la réglementation européenne selon laquelle  :  un commerçant peut refuser un paiement ayant plus de 50 pièces de monnaie. 


Les principales libertés publiques en France

  • La liberté individuelle*
    • La sûreté (le droit à la sécurité de la personne)
    • La liberté d’aller et venir
    • Le droit à la vie
    • Le droit à l'intégrité de la personne physique
    • Le droit au respect de la vie privée
  • Les libertés intellectuelles ou de l'esprit
    • La liberté d'expression
    • La liberté de la presse
    • La liberté de communication audiovisuelle,
    • La liberté de culte
    • La liberté de l'enseignement
  • Les libertés sociales
    • Le droit de propriété
    • La liberté du commerce et de l'industrie
    • L’égalité
    • La liberté de réunion
    • La  liberté d'association
    • La liberté syndicale

L'autorité judiciaire est « gardienne de la liberté individuelle » et « assure le respect de ce principe dans les conditions prévues par la loi » - de l'article 66 de la Constitution de 1958 (voir aux tableaux ci - dessous l'organisation des pouvoirs dans l'Etat, émanant de la Constitution de 1958, et les grands traits de l'organisation de la justice) 


DE LA CONSTITUTION DE 1958 (partagée par la plupart d'États francophones de l'Afrique subsaharienne) - LES POUVOIRS DANS L'ÉTAT 



Quelques références bibliographiques                                                  

Conseil constitutionnel, Texte intégrale de la Constitution du 4 octobre 1958 en vigueur, www.conseil-constitutionnel.fr

Direct matin,  « Peut-on payer n’importe quelle somme avec des pièces ? » article, www.directmatin.fr PDF du 12/09/2016

 Haute Cour (France) www.fr.wikipedia.org

Le Conseil supérieur de la magistrature, www.conseil-superieur-magistratue.fr et www.vie-publique.fr

Légifrance, Constitution du 4 octobre 1958, article, www.legifrance.gouv.fr

 LESCOT B.,  ABREGES, éd. André Casteilla, 1981, 160 p

Microsoft, « Libertés publiques », article, Encyclopédie Microsoft® Encarta® 2003

Service publique, «  Paiement en espèces », article, www.service-public.fr


 

 La liberté individuelle à travers la peinture      


De la liberté individuelle 

La Liberté guidant le peuple, 1830, Eugène Delacroix,  huile sur toile (2,6 x 3,25)m - Louvre-Lens (depuis 2012), Musée du Louvre(1874 –2012) Paris.                                                        "Par tous ces corps de l'engagement et de l'utilisation de la liberté individuelle, libres de nourrir qui elle veut !", ne dirait pas   Gavroche ? même en chantant :                        "Je suis tombé par terre, c'est la faute à Voltaire                Le nez dans le ruisseau, c'est la faute à Rousseau            Je ne suis pas notaire, c'est la faute à Voltaire                  Je suis petit oiseau, c'est la faute à Rousseau"            Chante Gavroche dans « Les Misérables », roman de Victor Hugo, paru en 1862. 


De l'utilisation de la liberté individuelle


La Justice et la Vengeance divine poursuivant le Crime, 1808, Pierre-Paul Prud'hon, huile sur toile (538 x 465)cm, Musée du Louvre - Paris.

Le commanditaire de ce tableau est le préfet de Seine FROCHOT, en 1804, pour le tribunal criminel (la cour d’assises) du Palais de justice de Paris.                                                               On peut voir en cette oeuvre l'allégorie de l'utilisation de la liberté individuelle.  


De l'engagement de la liberté individuelle

Le Christ en croix, 1627, Francisco de Zurbarán, huile sur toile (290 X168) cm, the Art Institute of Chicago

Pour la culture du développement, l’art et les textes sacrés instruisent: " Voici pourquoi le Père m’aime : parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau.  Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père." Jn 10, 17-18                                   Une oeuvre d'art peut avoir un impact sur notre liberté individuelle, elle peut avoir une puissance réelle sur nos violences individuelles, tout est question de ce qu'on met avec ou de ce qui l'accompagne, sa mise en pratique. Peut-on conscientiser, individuellement, Jn 10, 17-18 et ne pas être touché par ce tableau de Zurbarán et par  le geste du Pape Jean-Paul II le 12 mars de l'an 2000 ? la réponse est assurément non, parce que c'est humain et que l'homme est un être sensible. Elle interpelle, cependant, sur l’acuité de la question de l'engagement et de l'utilisation de la liberté collective. Que représente notre liberté individuelle lorsque  la liberté collective peut être engagée ou utilisée à fin de violence ? La réponse ne peut pas être "Rien !" et la mémoire n'est pas rompue.     


                                                                Les grands principes de l'organisation de la justice en France et                                                               dans la plupart d'États francophones de l'Afrique subsaharienne